
Depuis quelques années et de façon accélérée après la pandémie de 2020, les activités bien être et le retour aux sources est devenu de plus en plus commun.
Il y a tout un business qui s’est créé autour de la culture du « prendre soin de soi »; On voit émerger partout dans le monde de nouvelles pratiques, de nouveaux remèdes. On parle également beaucoup plus de certaines maladies et on tente de les soigner avec d’autres méthodes que la médicamentation.
Certains arrivent même à trouver des alternatives à la médecine traditionnelle.
Le corps est ainsi très bien fait car il sait toujours trouver la façon de se guérir. Il ne tient qu’à nous de lui donner ce dont il a besoin pour ce faire.
Les effets de mode sont présents dans tous les domaines et on a vu émerger pas mal de tendances bien être qui sont pour certaines devenues des habitudes et ont créer de véritable changement d’hygiène de vie.
Par exemple, la déconnexion numérique. Il s’agit de se déconnecter de tous les appareils technologiques qui nous entourent et rythme notre quotidien : téléphone portable, tablettes, tv, ordinateurs…. Tous les écrans quoi !
Pour beaucoup de personnes, la déconnexion numérique a permis de relativiser sur l’utilité réelle de nos objets du quotidien. En revenant à une activité normale, cette expérience leur a permis de réduire drastiquement le temps passé sur les écran et à utiliser des objets plus primaires pour leurs taches quotidiennes.
Parlons maintenant du biohacking

Qu’est ce que c’est que cette chose ? Le biohacking consiste en des changements progressifs que l’on opère sur notre mode de vie. Il s’agit d’un ensemble de pratiques, de sciences visant à s’informer librement sur sa propre biologie afin d’améliorer sa qualité de vie.
Il est largement dépassé le temps où l’information était réservé aux savants ; l’information est désormais en libre service sur internet et libre à chacun d’aller voir et d’essayer de la comprendre.
Abordons maintenant les diners diététiques.
L’alimentation a une partie très importante dans le bien être et le prendre soin de soi. C’est d’ailleurs un élément hyper marketing. Les industriels ont bien compris qu’il fallait tout mise sur la qualité de leur produit, le sourcing, l’éthique.

Le produit doit pouvoir être adapté à tous les régimes alimentaires : vegan, sans gluten, sans lactose, végétarien, etc.
En outre, le jeune intermittent s’est fait une belle place dans la société et a réussi à conquérir de nombreux adeptes.
Malheureusement il est parfois mal pratiqué et certains en abusent pensant qu’il s’agit d’une solution minceur. Ce genre de pratiques ne doit pas être détournée de sa fonction première : faire le ménage dans notre corps et non perdre à tout prix les petits kilos de cet été ou des fêtes de fin d’année.
Ce que l’on constate de façon générale, c’est l’envie, la nécessité d’une santé holistique : le corps et l’esprit sont indissociables dans le monde du bien être.
Pour aller plus loin, de nos jours, on ne pas nier l’importance et l’omniprésence de l’IA dans le secteur du bien être.
Le suivi du bien être devient un élément social : partage des performances strava, des résultats de la fitbit, comparaison des apple watch …
Tout ça pour dire que les pratiques évoluent et se spécialisent de plus en plus.
Le bien être et l’éthique se marient ; il y a quelques années, lorsqu’on souhaitait prendre soin de soi, on ne regarderait pas forcément la provenance des produits, les ingrédients utilisés ou même le sort des personnes qui nous dispensaient le soin.
Aujourd’hui c’est devenu un argument de vente phare dans le domaine du bien être.
Les demandes à ce genre de pratique ne sont pas qu’un effet de mode. Il y a semble t-il de plus en plus de personnes qui souhaitent inscrire leur changement dans la durée.
Le changement est désormais constructif !!
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